Parier sur le marché « des coiffeuses »

[عمار صادق]

Parier sur le marché « des coiffeuses »
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Ce n’est pas délibéré de ma part d’écrire sur la femme durant une journée consacrée habituellement en Algérie pour dresser les femmes sur la politique « de danse », parce que tout simplement je ne suis pas du tout convaincu que ce soit une journée épargnée par la date une fois sur douze mois, pour y célébrer des fêtes en fanfare, afin de prouver que les droits font toujours partie du système de quotas sans plus, oui je n’ai pas fait cela exprès … mais les rumeurs de notre exploitation des femmes durant le huit Mars 2009, et qui précède d’un mois en tout et pour tout le rendez vous pour trancher sur le troisième mandat du Président, est parié sur la gente féminine, ce qui m’a passé à parler de la politique « la fin justifie le moyen » qui a été adoptée par des ministres rusés, sinon comment expliquer l’adoption des dossiers des étudiantes de la formation professionnelle qui ont terminé leurs études depuis des années « et elles sont nombreuses » afin de les utiliser dans le remplissage de formulaires, servant à soutenir le candidat libre pour assurer son troisième mandat, faisons sans parler de la tentative du ministre de ce secteur qui a parié sur les femmes Algéroises, par le chemin le plus court vers le cœur de la femme, à savoir sa beauté produite par près de 1000 coiffeuses et spécialistes en esthétique, car le ministre a délibérément appelé, durant la semaine passée, toutes les femmes à assister à la rencontre qui se tiendra à l’institut national de la formation professionnelle de Bir Khadem, sa forme était de traiter les problèmes professionnels de cette frange, mais son fond est l’insistance du ministre d’être le trait d’union entre lui et des centaines, enfin des milliers demandeurs de salons de coiffures pour dames dans la capitale, durant la période qui nous sépare du rendez-vous présidentiel, pour convaincre leurs clientes de voter au profit du détenteur du troisième mandat.
En attendant ce que va annoncer le Président de toutes les Algériennes, dans sa rencontre avec les représentantes de la société civile à l’hôtel Sheraton, et peut être que c’est l’effacement des dettes de milliers de femmes propriétaires de voitures acquises par des crédits bancaires, et elles sont nombreuses! Le pari sur la gente féminine en Algérie est maintenu jusqu’au jour J.
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