Je garde que ces yeux tels
l’arc- en –ciel
Surtout le marron, la couleur du miel
Je la vois toujours même en sommeil
Comme on voit les rayons du soleil
Ton sourire révèle Ta modestie
Ta spontanéité et Ta sympathie
Comment oublier donc Ton regard
Oublier tout mais jamais Ton art
Le destin nous a conduits enfin
Vers la chute, le déclin et la fin
D’une histoire invraisemblable
Mais quelle ! Morale à cette fable
Le départ semble ennuyeux
On ne croit pas même nos yeux
Dure de dire au revoir et adieu
A qui un jour était notre joyeux