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Omar, Leila, Mustapha, Selma, Noura … Ces prénoms évoquent certainement quelques
souvenirs en vous !!
Plus de dix ans en arrière, ces personnages étaient les héros de nos premiers livres scolaires, avec lesquels nous avons fait nos premiers pas dans l’apprentissage de la lecture.
Nous avons tous vécu la joie de tenir un livre entre les mains, un livre qui est le Nôtre, et qu’on feuilletait sans cesse.
Même si on n’arrivait toujours pas à lire correctement une phrase, on prenait un plaisir certain à tourner fièrement les pages .
Les images aussi simples qu’elles étaient nous attiraient et illustraient parfaitement les textes. Souvent présentés sous forme de dialogue, ces textes étaient variés ; entre éducatifs , instructifs , histoires du quotidien ou même comiques, on y trouvait toujours une morale à la fin.
En cours d’arabe, tout comme en cours de français, le jour de la lecture nous effrayait tous. Enfants, bien que timides, on y avait tous droit, c’était inévitable ! Alors chacun prenait un rôle et c’est partie pour la rigolade !
Cinq minutes pour lire une demi phrase, on se demande comment nos enseignants nous supportaient, mais on y arrivait en fin de compte !
Mis à part ces bons moments d’enfance passés à l’école, on ne peut nier le fait que ces livres sont en premier lieu la raison pour laquelle nous avons ouvert grands yeux sur le vaste monde de la lecture !
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et voilà
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Nous avons tous vécu la joie de tenir un livre entre les mains, un livre qui est le Nôtre, et qu’on feuilletait sans cesse.
Même si on n’arrivait toujours pas à lire correctement une phrase, on prenait un plaisir certain à tourner fièrement les pages .
Les images aussi simples qu’elles étaient nous attiraient et illustraient parfaitement les textes. Souvent présentés sous forme de dialogue, ces textes étaient variés ; entre éducatifs , instructifs , histoires du quotidien ou même comiques, on y trouvait toujours une morale à la fin.
En cours d’arabe, tout comme en cours de français, le jour de la lecture nous effrayait tous. Enfants, bien que timides, on y avait tous droit, c’était inévitable ! Alors chacun prenait un rôle et c’est partie pour la rigolade !
Cinq minutes pour lire une demi phrase, on se demande comment nos enseignants nous supportaient, mais on y arrivait en fin de compte !
Mis à part ces bons moments d’enfance passés à l’école, on ne peut nier le fait que ces livres sont en premier lieu la raison pour laquelle nous avons ouvert grands yeux sur le vaste monde de la lecture !
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