par Maxime Labrie, Canada
On me le demande encore et j'en ris,
Si ça va en amour aujourd'hui,
En deux mots, c'est cuit,
Je perds la fille de ma vie,
J'en perds la tête et de plus,
Je ne peux me dire que j'y aurai cru,
Un espoir de l'avoir aperçue,
Autre part que dans les bras de cet inconnu,
Mais si le bonheur comble son coeur,
Alors je n'irai pas chercher son malheur,
La voir peinée pendant des heures,
On pourra me voir éclater en pleurs,
Tu étais devenue ma raison de vivre heureux,
Te voir en sanglots briserait mon ciel bleu,
Le démon de mon coeur se faire exécuter de ce pieux,
Et l'ange se faire brûler les ailes par ce feu...
Si tu savais tout ce que je t'ai caché,
L'envie de caresser tes cheveux ne peut m'échapper,
Te regarder dans les yeux et m'envoler,
Vers un monde d'une telle beauté,
Ton amour, que je ne peux me résigner à ignorer,
Si durant toutes ces prochaines années je devais flairer,
T'envier dans ce silence interminable, indéterminé,
J'ai si besoin de ton sourire, tes sarcasmes, tes subtilités,
J'ai tant de misère à me dire de te laisser partir,
Mais malgré chaque effort finissant par un soupir,
Je ne trouve pas le moyen de faire face à cet avenir,
Me voir sans toi, j'en imagine le pire...
J'étais prêt à tout perdre pendant des mois,
Je ne voyais plus rien devant moi,
Je ne voyais plus aucun choix,
Mais je m'accrochais, mais je ne savais pas à quoi,
Je te pensais être ma récompense,
Non que je ne te vois pas comme une chose mais une chance,
Après toutes ces séquences,
Je ne voyais que pénitence,
Je pourrais qualifier de cauchemar ce moment,
Mais te voir maintenant,
Me rend si fort, si puissant,
Si tu savais à quel point je t'aime tant.
Si ça va en amour aujourd'hui,
En deux mots, c'est cuit,
Je perds la fille de ma vie,
J'en perds la tête et de plus,
Je ne peux me dire que j'y aurai cru,
Un espoir de l'avoir aperçue,
Autre part que dans les bras de cet inconnu,
Mais si le bonheur comble son coeur,
Alors je n'irai pas chercher son malheur,
La voir peinée pendant des heures,
On pourra me voir éclater en pleurs,
Tu étais devenue ma raison de vivre heureux,
Te voir en sanglots briserait mon ciel bleu,
Le démon de mon coeur se faire exécuter de ce pieux,
Et l'ange se faire brûler les ailes par ce feu...
Si tu savais tout ce que je t'ai caché,
L'envie de caresser tes cheveux ne peut m'échapper,
Te regarder dans les yeux et m'envoler,
Vers un monde d'une telle beauté,
Ton amour, que je ne peux me résigner à ignorer,
Si durant toutes ces prochaines années je devais flairer,
T'envier dans ce silence interminable, indéterminé,
J'ai si besoin de ton sourire, tes sarcasmes, tes subtilités,
J'ai tant de misère à me dire de te laisser partir,
Mais malgré chaque effort finissant par un soupir,
Je ne trouve pas le moyen de faire face à cet avenir,
Me voir sans toi, j'en imagine le pire...
J'étais prêt à tout perdre pendant des mois,
Je ne voyais plus rien devant moi,
Je ne voyais plus aucun choix,
Mais je m'accrochais, mais je ne savais pas à quoi,
Je te pensais être ma récompense,
Non que je ne te vois pas comme une chose mais une chance,
Après toutes ces séquences,
Je ne voyais que pénitence,
Je pourrais qualifier de cauchemar ce moment,
Mais te voir maintenant,
Me rend si fort, si puissant,
Si tu savais à quel point je t'aime tant.
